Chirurgie du genou : notre guide

Le genou : articulation essentielle mais fragile

Le genou est en effet une articulation majeure de notre corps humain reliant fémur et tibia. Cette  partie s’use avec le temps et l’activité, s’exposant ainsi à de possibles troubles et diverses pathologies. L’observation de celle-ci se fait par radiologie.

Il existe de nombreuses douleurs du genou, pouvant aussi bien être bénignes que graves. Ces traumatismes peuvent être causés par un accident dans la cadre de la vie quotidienne ou lors d’une séance de sport. Les traumatismes peuvent toucher les ménisques et déchirer celui-ci, c’est-à-dire liées à la déchirure du ménisque, qui se manifeste par une entorse du genou. Il y a également les lésions ligamentaires liées à la rupture des ligaments suite à une entorse. Les sportifs y sont régulièrement confrontés. Après un traitement médicamenteux la chirurgie est une option à envisager.

En termes de pathologies, l’arthrose est la plus répandue. Elle touche de nombreux individus de soixante-quinze ans. Cela s’explique par le caractère dégénératif de la pathologie, résultat d’une dégradation naturelle. Les douleurs apparaissent lors de l’effort mais se calment au repos.

L’opération comme solution ?

Il existe de nombreux traitements pour faire face aux douleurs du genou, le premier envisagé est le médicamenteux avant même d’envisager la chirurgie. Il peut aussi être proposé une adaptation de l’hygiène de vie pour soulager telle qu’une alimentation adaptée pour épargner le genou du surpoids.

Aujourd’hui la chirurgie du genou est particulièrement développée et efficace. La plupart du temps, l’intervention ne demande qu’une toute petite incision, notamment pour la méniscectomie ou la ligamentoplastie. Le principe est d’opérer en ouvrant le moins possible grâce à une caméra avec lequel travaille le chirurgien. La récupération est assez rapide et sa renommée est très favorable, ce qui séduit particulièrement les sportifs.

Pour les pathologies dégénératives liées au genou comme l’arthrose le traitement envisageable est une prothèse ou un simple nettoyage des facteurs inflammatoires en réorientant les défauts d’axe. Mais l’effet de ce dernier ne se porte que sur quelques mois. Le processus de récupération s’entame très vite, dès le jour même ou une séance de marche avec béquille et attelle est organisée. La rééducation débute le lendemain et cela pour plusieurs mois.

Centre de Chirurgie Ostéo-Articulaire (CCO) - Polyclinique Saint-Privat - Rue de la Margeride -34760 Boujan-sur-Libron